lundi 31 décembre 2012

2012

Comment finir en beauté cette année 2012 ? Je vous propose le meilleur billet d'Alphonsine, mois après mois (ou moi après moi !). 

Janvier :



Février :


Mars :


Avril :


Juin :
Juillet :
Août :
Septembre :
Octobre :
Novembre :

Ma voisine

Décembre :







vendredi 28 décembre 2012

Les sabots de Monsieur Alphonse

Monsieur Alphonse travaille en pyjama. Si, si, en pyjama, et en sabots. C'est pratique pour Alphonsine qui n'a pas de chemise à repasser (autres que celles de ses fils et les chemisiers de ses filles). 

Tous les matins, Monsieur Alphonse arrive au travail au radar, enfile son pyjama, et doit trouver ses sabots parmi les autres sabots. Comme il a de grands pieds (c'est une question de stabilité), il ne peut même pas prendre par mégarde ceux d'un autre. Il a dû se commander lui-même ses sabots taille 45. Lorsqu'il a vu le catalogue, il a bondit sur les sabots....




Depuis, il peut terminer sa nuit en arrivant au travail, il retrouve toujours ses sabots ! 

Monsieur Alphonse est astucieux !


lundi 24 décembre 2012

Joyeux Noël

Chers Lecteurs,

C'est avec tout mon coeur que je vous souhaite de passer de belles fêtes de Noël, paisibles et lumineuses.

Que l'Enfant de la Crèche vous bénisse !

Alphonsine

samedi 22 décembre 2012

Stollen

Voilà la saison du Stollen qui revient. C'est typiquement un gâteau de Noël que l'on déguste au moment du café. Il existe de nombreuses recettes de Stollen. Celle que je préfère a été trouvée dans une revue allemande il y a 21 ans alors que j'habitais à Stuttgart. Je l'ai gardée précieusement, et je la réalise tous les ans pour le plus grand bonheur de toute la famille.

En plus d'être bonne, cette recette est pratique, puisqu'il faut préparer le gâteau plusieurs semaines à l'avance pour qu'il s'imprègne bien de tous ses arômes. Je l'ai fait la semaine dernière, il sera parfait pour Noël, et Aloïs pourra en emporter un dans son "kot".



Stollen de Dresde


1/2 paquet de levure de boulanger
1 c.c sucre
1/4 l de lait
500 g de farine
125 g de sucre
1 pqt de sucre vanillé
1 flacon d'extrait de citron 
1/2 glacon d'extrait de vanille
6 gouttes d'extrait d'amande amère
sel
1 pointe de couteau de Cardamomne, de noix de muscade, de clou de girofle
250 de beurre
350 de raisins secs
125 g de dés d'écorce de citron
125 g d'amandes hachées (grossièrement)

Après la cuisson :
200 g de beurre
sucre glace


N.B. (on trouve les petits flacons en Allemagne. Ils correspondent à 1 cuiller à café)

Mélanger la levure, le sucre et 100 ml de lait tiède dans une tasse; Laisser reposer 15 mn. Tamiser la farine dans une terrine, ajouter le sucre, les extraits d'arômes, le sel, les épices, la levure, le reste de lait tiède, et le beurre ramolli. Travailler la pâte durant 5 mn (à la main ou à l'aide d'un batteur), jusqu'à obtenir une pâte lisse. Laisser reposer dans un endroit chaud jusqu'à ce que la pâte ait doublé de volume.

Versr la pâte sur un plan de travail fariné. Mélanger les raisins secs, l'écorce de citron, les amandes avec une cuiller de farine dans un saladier, puis travailler ce mélange avec la pâte. Former la pâte en Stollen (gros boudin aplati), la poser sur une plaque à pâtisserie recouverte d'un papier de cuisson. Laisser lever.

Préchauffer le four à 240°C. Enfourner et diminuer le four sur 160°. Faire cuire 60 mn.

A la sortie du four, poser sur une grille. Faire fondre les 200 g de beurre. Répartir la moitié du beurre sur le Stollen tout juste sorti du four. Saupoudrer largement de sucre glace. Recommencer l'opération lorsqu'il est un peu refroidi.

L'emballer dans du papier aluminium pour le conserver.


vendredi 21 décembre 2012

Yaourtière

La mode est au "fait maison". J'adhère à 100 %. Non pas par philosophie, essentiellement par radinerie ! Je fais mon pain, mes repas, j'achète rarement des surgelés, et ce sont alors des légumes natures. Pour les yaourts, j'ai eu plus de mal. En réalité, faire les yaourts soi-même n'est pas forcément plus économique. Lorsqu'on découvre le prix de la yaourtière, et le fait qu'il y a 8 pots et qu'il faut en garder un pour les refaire, j'ai beau calculer et recalculer, comme nous sommes 8, nous aurions dû jouer aux chaises musicales pour savoir qui ne mangerait pas de yaourt.

Le deuxième calcul prend en compte le lave-vaisselle : j'arrive à ranger la vaisselle de 3 repas pour 8 personnes. Mais si on rajoute un pot de yaourt (vide par personne), il faut que je fasse tourner le lave-vaisselle plus souvent.

Le calcul 1 + le calcul 2 + le prix de la yaourtière = des yaourts pas rentables.

Et puis, un jour, je suis tombée sur un prospectus qui proposait une yaourtière d'un litre. Un seul bol. Fantastique : je réglais à la fois les problèmes de lave-vaisselle, de chaise musicale et de prix de yaourt puisqu'à ce moment-là nous achetions notre lait à la ferme.

A l'usage, je suis ravie de cet achat qui m'a coûté moins de 10 Euros ! Et comme je suis astucieuse, j'ai pris un verre à mesure, je lui ai coupé radicalement son anse, et c'est ainsi un deuxième pot qui peut alterner avec le premier. Et de plus, il fait 1,5 litre de contenance !



jeudi 20 décembre 2012

Jeudi, ce n'est pas vendredi !

Le repas est prêt, il est midi 10. Les Lycéens vont rentrer d'ici moins de 5 minutes. Alfred rentrera à midi 30. Ah mais non, il termine à 11 heures, il devrait donc déjà être rentré. "Aelred, va voir si le vélo d'Alfred est sous le porche et s'il est rentré sans me dire bonjour (ce serait une première !)". Rien, pas de vélo...

Je téléphone au collège pour savoir si un cours a été rattrapé. "Non, il est en cours d'histoire-géographie". "Pourtant il aurait dû terminer à 11 heures..."

C'est à ce moment-là que je réalise que nous ne sommes pas encore vendredi mais bien jeudi, que la vie suit son cours normal, qu'Alfred rentrera bien à midi 35. "Je crois que j'ai besoin de vacances, je suis navrée de vous avoir dérangée".

Vivement les vacances... 

dimanche 16 décembre 2012

Je compte

Je compte les marches lorsque je monte un escalier, je les compte également lorsque je  le descends, je compte les pas entre le bas de l'escalier et la boîte aux lettres, je compte le nombre de sonneries de téléphone entre la première sonnerie et le moment où je retrouve mon combiné et que je peux décrocher, je compte le nombre de livres que je possède (j'en suis à 328, il ne m'en reste plus que 4000 à comptabiliser), je compte le nombre de coups de brosse lorsque je me coiffe le matin, je compte le nombre de fois où je donne un ordre et que je ne suis pas obéie, je compte le nombre d'arrêts de tram, je compte le nombre de tours de cuiller lorsque je fais une béchamel, je compte le nombre de pièces repassées en une séance de repassage, je compte le nombre de petites culottes que j'étends, je compte le nombre de lettres que je reçois lorsque je vide la boîte aux lettres, je compte, je compte, je compte tout...

Bref, je compte toute la journée, mais cela n'est absolument d'aucune utilité. Si encore je mémorisais les réponses, je saurais aujourd'hui combien de marches d'escalier j'ai déjà monté dans ma vie, ainsi que le nombre de marches dévalées (je prends plus volontiers l'escalier lorsqu'il s'agit de descendre, allez comprendre pourquoi...). En prenant une moyenne de la hauteur d'une marche, je saurais quelle altitude j'aurais pu atteindre. 

Si ma mémoire, certes puissante mais à trop court terme, mémorisais le nombre de coups de brosse donnés depuis que je suis née, je serais incroyablement étonnée d'en comptabiliser autant (je suis toujours impressionnée par les nombres multipliés par 10 puissance quelque chose).

Si seulement je savais combien de sonneries de téléphone j'ai déjà entendues dans ma vie !

Si j'avais mentalement additionné tous les livres que j'ai lus, je saurais (ou pas) combien il m'en reste à lire !

Mais au moins il y a une question à laquelle je peux répondre :
- Et vous, que faites-vous dans la vie ?
- Je compte.
- Ah !


vendredi 14 décembre 2012

Mon banquier est constant lui aussi

Je viens de découvrir que mon banquier est également possédé par la vertu de constance (pour la définition de la constance, cliquer ICI). Je dis mon banquier, je devrais dire ma banque, et comme je suis très fâchée, je vous lâche son nom : la Société Générale. Lamentable.

Il y a quelques semaines, je me plaignais de la sottise, du manque de qualification,  de l'absence de toute connaissance en matière bancaire de la personne qui s'occupe de nous à la Société Générale (voir ici). Le jour où elle est partie à la retraite, elle pleurait, et nous nous réjouissions (nous manquons grandement de compassion, je le reconnais).

Nous avons été ravis de voir notre dossier changer d'interlocuteur et être remis au chef d'agence. "Enfin, nous sommes-nous dit, nous aurons des réponses efficaces à nos questionnements". Las, notre espoir a été de trop courte durée : 7 jours (entre le 1er décembre et le 6 décembre).

Il est vrai que Monsieur Alphonse soumet des problèmes trop compliqués à sa banque, et qu'il en va de sa seule faute s'il ose demander de procéder au virement d'un montant de 210 Francs suisses de son compte sur le compte d'une administration qui en attend 210 ! Le banquier s'exécute avec une célérité toute à son honneur. Deux jours. Et puis, quasiment par retour de courrier, Monsieur Alphonse reçoit une lettre de l'administration suisse lui demandant un solde de 10 Francs suisses.

Monsieur Alphonse contacte la banque, lui demande pourquoi il n'a pas pensé aux frais de banque, son correspondant ne souhaitant pas prendre en charge les frais... Réponse immédiate du banquier (deux jours plus tard. C'est rapide, je sais, rien que les délais devraient nous obliger à pardonner beaucoup) : "Comment dois-je faire ?"

Encore, mais c'est une marque de fabrique pour cette banque ? (C'est au mot "encore" que vous pouvez affirmer qu'une personne, une structure, une administration est constante).

Réponse de Monsieur Alphonse : "C'est votre métier" (Vous constaterez en passant que Monsieur Alphonse et moi sommes faits pour nous entendre : à même question même réponse.)

Après deux autres jours de réflexion, le banquier lui écrit par mail (quel innocent ce banquier d'oser mettre sa pensée par écrit) "Comment dois-je faire pour procéder au virement de 10 Francs. S'il y a des frais de dossier de 10 autres Francs, il faut que je les rajoute, mais si je vire 20 Francs, et que les frais sont proportionnels, je risque encore d'être en-dessous du montant".

Vous noterez qu'il a oublié ses principes de base en arithmétique. S'il y a des frais proportionnels, il faut qu'il rapporte les 10 Francs aux 210 Francs, pour 10 Francs à faire virer, les frais seront moindres. Sinon ce sont des frais fixes. Faut-il donc que nous cherchions sur Internet pour avoir la réponse et lui communiquer ?

La réponse de Monsieur Alphonse a été fulgurante : il a pris un billet de 10 Francs suisses, les a mis dans une enveloppe et les a envoyés directement à l'administration.

Promis, j'écris immédiatement au PDG de la Société Générale, et je lui demande de former ses banquiers aux transactions internationales, et je le prierai de dresser une liste de présence et de faire un cours de rattrapage pour ceux qui auront été malades...



mardi 11 décembre 2012

La constance est une qualité

La constance est une qualité, j'en suis persuadée depuis que je connais Machin (en réalité, il ne s'appelle pas Machin, mais je ne veux pas qu'il soit reconnu... quoique, avec ce que je vais dire de lui, tous ceux qui le connaissent le reconnaîtront... vous aussi peut-être mais vous lui donnerez un autre prénom, parce que bien certainement on a tous des Machin dans notre entourage !).

Je connais Machin depuis plus de quatre ans. Il ne sait rien planifier, rien organiser, mais il a (notamment) deux énormes qualités : il est très dévoué, et il est constant.

Sa constance se révèle pleinement lorsqu'il fixe un rendez-vous. "Je viendrai sans faute samedi matin à 9 heures".  A 9 heures, 10 heures, 11 heures, toujours personne. En fait, il ne vient pas, il a autre chose à faire. Mais nous ne le saurons que si nous lui téléphonons et que son téléphone n'est pas sur répondeur. Il nous promet alors de venir sans faute mardi soir avant 19 heures. 18 heures, 18 heures 30, 18 heures 45, 19 heures, 19 heures 15... personne. Il n'a pas pu venir. Mais nous ne le saurons que si nous lui téléphonons et que son téléphone n'est pas sur répondeur. Il nous promet alors de venir sans faute jeudi soir. Et jeudi soir, il vient effectivement !

Au début, j'en étais agacée. Je m'organisais pour rester à la maison, ce n'était pas toujours simple, mais c'était inutile.

Et puis le jour où nous avons commencé à dire : "Machin n'est toujours pas là, c'est comme toujours", j'ai compris que Machin était un homme constant. En fait, il n'y avait pas de surprise avec lui. La première fois il a autre chose à faire, la seconde fois il est occupé ailleurs, et la troisième fois est la bonne.

Alors, samedi, je ne l'ai pas attendu. A 11 heures, il a téléphoné pour m'annoncer qu'il "n'y arriverait pas". Il a ajouté qu'il passerait mardi pour voir Monsieur Alphonse. Or je ne savais pas que Monsieur Alphonse avait prévu une répétition de cor des Alpes. Je n'ai pas prévenu Machin de l'absence de Monsieur Alphonse, je savais qu'il ne viendrait pas au deuxième rendez-vous. Et bien m'en a pris ! Il n'est pas venu. Il viendra demain parce qu'il n'a pas prévenu.

C'est pratique la constance, pour peu qu'on comprenne dans quel sens elle va !


lundi 10 décembre 2012

Trophée en chair et en os



Albert a dit : "Regarde, il a même la goutte au nez !"

Hier, l'harmonie dans laquelle je joue avait organisé sa fête de Noël. J'avais emmené avec moi Anatole et Amélie. J'ai abandonné Monsieur Alphonse, Albert et Aloïse. Et comme nous avions une belle journée, et qu'elle a duré, duré, duré... qu'il restait du cochon de lait, j'ai proposé d'emporter la tête à Monsieur Alphonse pour me faire pardonner mon absence. Il en a fait un trophée avant de partager avec ses fils les meilleurs morceaux !



jeudi 6 décembre 2012

Mais où est-elle donc ?

Ce matin, à 8 heures, j'étais au garage pour déposer ma voiture (qui avait été sauvagement écharpée sur tout le côté par le remorque d'un semi-remorque au point que je n'arrivais même plus à ouvrir ma porte). On m'a prêté un véhicule de remplacement. Le moteur était en marche, je m'installe au volant et je me rends au supermarché pour y être à l'ouverture. Je bondis hors de ma voiture pour faire les deux courses prévues, et lorsque je ressors, je ressens un moment de très grande solitude : comment savoir quelle est ma voiture ? Je n'y ai absolument pas fait attention en montant dedans.

Heureusement, c'était la seule voiture du parking...

mercredi 5 décembre 2012

Lettre au Père Noël, version 2012

Albert, notre écrivain en herbe, vient de terminer sa lettre au Père Noël. Mes commentaires étant superflus, je vous recopie ici sa lettre : 


Chère Mère Noël (le Père Noël n'existe pas),

J'ai été presque sage cette année, (presque) et, si le 21/12/12 il n'y a pas la fin du monde et que l'on survit, j'aimerais avoir, trois jours plus tard, à Noël, des cadeaux.
Logiquement, on a toujours des cadeaux, mais on ne sait jamais... Je veux dire, on ne sait jamais sur quel cadeau on peut tomber. (Franchement, la poupée-barbie-qui-dort-pleure-et-fait-pipi, ne me tente pas !)
Donc, après maintes recherches, j'ai dressé une liste des cadeaux que je ne veux pas ! (L'autre viendra après, chaque chose en son temps)
- Un cartable,
- Les petits playmobiles pour bébés (Ceux qui sont en première page sur les magazines)
- Les duplos
- Un stylo quatre couleurs sans encre

Enfin, le moment que vous attendiez avec impatience,
"La liste des cadeaux de Noël !"

- Boîte légos : Q-G dinosaures (n°5887)
- Yoyo professionnel
- Mallette de tours de magie
- Stylo quatre couleurs (avec encre)
- Bon pour aller au restaurant
- Rails droits pour train électrique Jouef.

dimanche 2 décembre 2012

Nous l'avons retrouvé

Il y a de nombreuses années, nous allions parfois dîner en amoureux dans une brasserie, Monsieur Alphonse et moi. La salade du chef était sympa, et toujours différente.

Un soir, nous arrivons dans une salle vide : aucun client. "Tiens, dis-je au patron, puisque nous connaissons la carte par coeur et que votre chef doit s'ennuyer en cuisine, je lui proposerais volontiers de me servir ce qu'il a envie de préparer".
- Oh oui, rétorque Monsieur Alphonse, cette idée me tente bien aussi.

Le patron étant d'accord, il appelle le chef qui, comme tous les chefs, est soudain intimidé de se trouver sous les lumières de la salle. Il nous demande nos goûts, nous fait des propositions, et s'en va oeuvrer pour nous. Il revient avec une assiette somptueuse qui ravit nos papilles, et que nous n'avons jamais oubliée. Pendant que nous dînons, il nous prépare un dessert surprise.

A la fin, au moment de partir, je vais le voir pour le remercier et le complimenter de l'harmonie des couleurs, saveurs, textures.

Nous n'y avons eu droit qu'une seule fois. La patronne était furieuse ! Et puis, le chef étant parti, l'excellence du remplaçant laissant à désirer, nous avons délaissé cette brasserie. Nous avons essayé de retrouver la trace du jeune chef qui nous avait tant régalés, mais sans succès.

Petit à petit, nous avons pris d'autres habitudes au "Potin", situé à Barr. Il y a deux ans nous avons remarqué une différence dans nos assiettes, et nous nous sommes interrogés sur le chef : serait-ce celui dont nous avions un tel souvenir ? Même genre de décoration, même harmonie des saveurs, des plats originaux mais sans choquer... Récemment, j'ai trouvé le moyen de mener ma petite enquête, et .... surprise..... c'était bien lui.

Je suis allée le voir dans sa cuisine pour le féliciter, lui rappeler le souvenir qu'il nous avait laissé six ans plus tôt (lui-même s'en souvenait très bien). Il a été très touché qu'il puisse être reconnu par sa cuisine ! Et comme je ne savais que faire des mes revues de cuisine Thuriès, je lui ai offert mes 28 exemplaires ! Il en fera bon usage, je le sais !

Dernière minute : suite aux demandes dans les commentaires, voici l'adresse du Potin :

http://www.aupotin.com/